Bonjour

depuis un petit moment je me demande comment sont perçu en héossie les personnes trans s'il y en a et quel rapport ont les héossiens au genre et au différentes orientations sexuelles et romantiques possibles.

pour ma part je les imagine assez ouvert d'esprit pour accepter toute personne quel que soit son genres ou ses orientations sexuelles et romantiques.

sauf peut-être certain humain (la faute au premier ordre j'imagine)

Partant du pincipe que toute question est bonne à poser, oui, je te confirme que les Héossiens n'ont absolument rien à faire de l'orientation sexuelle de chacun, vu la diversité des systèmes de reproduction entre les Delhion; les Ygwan, les Nomoï et des autres, en fait, la question ne se pose même pas. Homme-femme, homme-homme, femme-femme, tout ça, c'est kif-kif pour les Héossiens… 🙂

En terme d'acceptation des transgenres, la civilisation Héossienne se rapproche beaucoup des sociétés amérindiennes, qui ne voyaient pas 2 genres (masculin-féminin), mais 5 :

masculin – féminin – masculin/féminin – féminin/masculin – neutre

Voilààà

j'avais créer un couple Nomoï/ humain assez sympathique pour un scenario. Comme le dis Igor, il y a deja une forte diversité dans le jeu, les Ygwans sont matriacaux, les dehlion polyamoureux, les nomoi asexué (et agenre? a questionner 🙂 ) et parthénogenèses. sans conter les metisse, les hybrides (grace a la sciences ou la magie etc.

Si tu veux créer de la nuances tu partir du fait que notre race ne seras peu etre pas tres ouverte a cela vus la culture humaine herité de la terre, et encore j'ai envie de dire tant que tes pratique ne nuisent pas a la perpetuation de la famille (dans le sens que cela a chez les humain de shaan), ni que cela nuisent au grand capital, je pense que les humain s'en foutront aussi

A la base, les Nomoï restent centrés sur eux-même. Toute leur attention est portée sur eux, leur égo, leur développement personnel. Ils forment des communautés d'individus qui s'entraident et mettent en commun leur ressources, mais toujours pour le bien de chacun.

Toutefois, lorsqu'ils mettent au monde leur premier œuf, il y a un glissement de leur égo au profit de leur progéniture qui prend alors une nouvelle place dans leur vie et leur permet de s'ouvrir aux sentiments envers les autres.

Il est coutume de dire que tant qu'un Nomoï n'a pas pondu, il ne peut pas aimer… 🙂

Je n'ai pas trop envie de généraliser 🙂

Comme le second œuf met fin à la vie des Nomoï, il se fait généralement dans la douleur ou l'épuisement. Mais on a déjà vu des accouchements se faire de manière très sereine et harmonieuse. Il faut dire que dans ces cas là, il s'agissait surtout de Nomoï shaanistes… 🙂

C'est énorme Kelmor ! Tu viens toi-même d'apporter les réponses à tes propres questions.

Par ton post, tu alimentes ce brainstorming collaboratif de cette plateforme.

Donc, oui à toutes tes suggestions, elles sont top !

Je présume qu'à l'approche de son 200 ème anniversaire il cherche à rejoindre des gens à même de s'occuper de son enfant pour leur confier (comme des parrain/marraine). Vu la droiture des Nomoï, la confiance aveugle en la bienveillance des autres ça doit pas être leur truc. Est ce qu'il y a une sorte de "contrat" comme avec les parrain?

Oui, on peut tout à fait imaginer cela. On peut même dire que cela constitue une préoccupation principale pour les Nomoï : qui va être digne d'élever leur second enfant, puisqu'eux ne seront plus là pour le faire. C'est d'ailleurs ce qui pousse les Nomoï à faire partie d'un Shaan afin de trouver la bonne âme, le bon Esprit ou le bon Corps. On peut même dire que tant qu'un Nomoï n'a pas eu son premier enfant, il reste très autocentré et égotique. Mais lorsqu'il a son premier enfant, dont il doit s'occuper, ses pensées vont alors à ce second enfant potentiel. Et à ce moment là, les Nomoï changent radicalement d'attitude. Bon, ça reste toujours intéressé, comme démarche, car il s'agit de trouver des gens pour s'occuper de leur môme, mais du coup, c'est ce qui permet de les rendre à peu près sociables, car sans celà, ils resteraient des ermites toute leur vie. On a alors deux manière de pensée. Les Nomoï conservateurs, qui préfèrent trouver un ou des parrains Nomoï qui pourront transmettre leur patrimoine culturel à leur enfant. Ou bien les Nomoï progressistes, qui privilégient au contraire le fait de trouver un parrain ou une marraine, à l'opposé de la culture Nomoï (ce n'est pas très difficile à trouver) afin que leur enfant puisse s'épanouir dans un autre cadre de vie et soit le plus éveillé possible…

Je vois bien un Nomoï débarquer chez des amis de longue date en qui il a confiance, leur dit "je vais mourir dans 1 mois et je veux que vous vous occupiez de Gravier, mon enfant que je vais pondre à ce moment là" en leur sortent une liste de choses qu'il veut pour son éducation.

Mais oui, tellement !

Ensuite pour les Nomoï au sein de communauté Nomoï il y a peut être un système de garderie pour la moitié des enfants sans parent. Ou peut être c'est l'aîné qui doit s'en occuper, ce qui serai pas déconnant parce que la naissance du cadet correspond à la naissance du premier enfant de l'aîné à quelques mois près (le temps de gestation).

Complètement, on peut même institutionnaliser le truc, voir le message du dessus. Les conservateur confieront l'éducation de leur second enfant à leur aîné, les autres, à d'autres… 🙂

Je trouve ce système de reproduction méga contraignant mais à la fois méga intéressant pour une espèce, ça l'oublige à de l'égoïsme mais à de l'entraide aussi d'une certaine façon. Ils ont pas été gagant par l'évolution 😂

Hé hé hé, oui, oui. Mais ça leur va bien. Ils conservent leur titre de race énigmatique, par leur physiologie qui engendre des comportement spécifiques et adaptés à leurs besoins.

Bon, les Delhions sont pas mal non plus…

(Rien à voir mais pour la diversité génétique je m'était dit que pendant la formation de l'œuf, les méditations d'un Nomoï devait être plutôt concentrées sur ça. Faire des sortes de rituels d'invocation de trihn pendant cette conception pour que ces trihn apportent quelque chose de particulier et que ceux-ci infulance la génétique de l'enfant, pour éviter à la foi les maladie infantile et crée la diversité)

Mais complètement ! Le coté introspectif des Nomoï ça peut être cela. En fait, le Nomoï réussissent ce tour de force de fusionner les éléments MOI et AUTRE. Ils se replie sur eux-mêmes, sur leur œuf à venir, qui sera des autre eux-mêmes.

Un truc important, dans mon idée, les Nomoï ne sont pas des clones d'eux-mêmes, car lorsqu'ils sont enceint(es), ce n'est jamais dans les mêmes circonstances, climatiques, environnementales, culturelles, sociologiques, psychologiques, ce qui fait que chaque Nomoï nait différent de son progéniteur.

Hé hé hé, ben voilà, c'est excellent !

Ok pour le monde avec une vie basée sur le silicium plutôt que sur le carbone…

Et oui, le monde d'origine des Delhions a une plus faible gravité et une atmosphère plus dense. C'est pour cela qu'ils ont plus de mal à décoler du sol d'Héos sans que ça ne leur coûte une dépense de points de Corps (en plus de créer une règle de gameplay qui permet de limiter le vol).

Ah si, si, ça me va très bien !!!! 🙂