Sur la carte de l'héossie, on voit bien qu'il y a pas mal de portes de transfert, il y a une taxe pour les traverser ?

Si oui, elle est arbitraire ou basée sur la distance ?

Hors de ce réseau, il existe d'autres moyens de voyager a part à pied ou avec un des moyens de transport déjà existant (les acquis et le monorail de la capitale) ?

Dans le Cycle d'Odéa, il y a un tarif pour les portes des Quartiers, c'est 1 Amina par personne et par m² de marchandise supplémentaire (la taxe est au volume pas au poids donc). Dans la première édition, 1 Amina = 100 Hesprides donc grosso-mode 100 Credos aussi dans Renaissance, si l'inflation n'est pas passée par là.

Citation de julien Le [29/11/2016] à 18:27

On parle de 300 Crédos par personne pour les portes de Käm page 324 du Manuel d'itinérance. Mais cette base peut être modulée en fonction de la situation locale, de la destination, du volume de matos à trimballer, de la présence ou non d'armimales ou de montures, etc.

C'est ce que je pensais, le voyage n'est surement pas gratos.

Ok 🙂

Si ca peut t'aider, page 243 du manuel, t'as des idées de prix.

Pour la carriole à 1000 crédos, c'est cher mais ca prend en compte le bestiau qui la tracte aussi.

Yep, 1 crédo est à peu près égal à 1 euro.

Après, on a collé une règle standard et simple pour fixer le prix d'un acquis en fonction de sa classe, mais difficile de faire quelque chose de simple et universel. Donc adaptez-là quand ça vous arrange.

Pour revenir aux Artistes, ce n'est pas trop le genre de métier pour lequel on bosse 10 heures par jour avec un revenu régulier. Un chanteur de rue ne gagnera peut-être pas autant au bout de 5 heures de représentation, le public risque de finir par se lasser. Je trouve ça finalement assez réaliste qu'un Artiste puisse gagner pas mal d'argent sur quelques heures tous les 2 ou 3 jours. Ca colle pas mal avec les cachets que peuvent se faire les musiciens, les chanteurs ou les comédiens. Après, il reste un autre moyen de revenu : concevoir des oeuvres et les revendre à des amateurs d'art.