Yep, tu as complètement raison !!!!
Alors on pourrait imaginer qu'en fait la difficulté des sorts soient évaluée en fonction de leur sphère d'influence sur le monde. Je m'explique :
• je veux franchir un fossé en me transformant en arbre, en flammes ou en faisant apparaître un pont de pierre, tout le monde s'en fou. Donc peut importe les schèmes utilisés, c'est ce que l'on range dans la catégorie des algorythmes de rang 1 et la difficulté sera de 0.
• Les algorythmes de rang 2 permettent de cibler plusieurs cibles, une fois par situation, en interaction pendant 2 tours. Leur difficulté est de 4 (si on dit que le niveau en langage des schème peut réduire la diff, ça peut être plus)
• Les algortyhmes de rang 3 permettent d'être utilisés une fois par tour, à distance, pour MAGIE cibles et pendant 1 heure. Leur difficulté est de 6
• Les algorythmes de rang 4 permettent de contrôler les personnes influentes, de créer des effets complexes avec beaucoup de schèmes. Des enchantements assez simples peuvent entrer dans cette catégorie. Leur difficulté est de 8.
• Et enfin, les algorythmes de rang 5, sont des algorythmes légendaires. Ils sont le fait de puissants magiciens, rarement utilisés par les PJ, mais sait-on jamais. Ce sont souvent des enchantements très complexes avec des déclencheurs alambiqués qui entrent dans cette catégorie. Leur difficulté est de 10.
C'est le MJ qui évaluera le rang du sort que va créer le personnage en fonction de la situation et de la sphère d'influence concernée et de la complexité de l'algorythme. Celà peut se faire au pieds levé.
ça permet une grande souplesse d'interprétation, mais le MJ dispose tout de même d'un cadre pour juguler les magos casse-couille et il pourra, s'il en ressent le besoin favoriser des magiciens débuttants.
rigolo, non ?
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